La période des illuminations de Noël se prolonge toujours plus longtemps, de novembre à fin janvier, et engendre une pollution lumineuse toujours plus grande dénoncent les associations Agir pour l’Environnement, l’Association nationale pour la Protection du ciel et de l’environnement nocturnes, le réseau Action Climat France, ainsi que le réseau Sortir du Nucléaire.
Une campagne intitulée « Illuminations de Noël : le grand gaspillage ! » vient d'être lancée par les quatre organisations afin de sensibiliser l’opinion publique aux conséquences climatiques, énergétiques, ainsi qu’à l’impact sur la biodiversité de la pollution lumineuse.
Les économies d’énergie induites par le passage à l’heure d’hiver sont d’année en année réduites à néant par la multiplication d’illuminations de Noël rappellent les associations. Les illuminations de Noël engendrent en période de fortes consommations électriques, un bilan carbone avoisinant les 600 à 700 grammes de CO2 pour chaque kilowattheure supplémentaire consommé. De plus le recours à la lumière artificielle est une source de dégradation des écosystèmes, à titre d’exemple certaines espèces auraient disparu des régions urbanisées.
Les associations appellent donc l’État à intervenir, notamment par l’instauration d’un « bonus-malus kWh » en vue de réduire les pics de consommation électrique. Elles demandent également aux collectivités locales de règlementer localement l’éclairage nocturne afin de limiter dans le temps et dans l’espace cette pollution lumineuse.
Une campagne intitulée « Illuminations de Noël : le grand gaspillage ! » vient d'être lancée par les quatre organisations afin de sensibiliser l’opinion publique aux conséquences climatiques, énergétiques, ainsi qu’à l’impact sur la biodiversité de la pollution lumineuse.
Les économies d’énergie induites par le passage à l’heure d’hiver sont d’année en année réduites à néant par la multiplication d’illuminations de Noël rappellent les associations. Les illuminations de Noël engendrent en période de fortes consommations électriques, un bilan carbone avoisinant les 600 à 700 grammes de CO2 pour chaque kilowattheure supplémentaire consommé. De plus le recours à la lumière artificielle est une source de dégradation des écosystèmes, à titre d’exemple certaines espèces auraient disparu des régions urbanisées.
Les associations appellent donc l’État à intervenir, notamment par l’instauration d’un « bonus-malus kWh » en vue de réduire les pics de consommation électrique. Elles demandent également aux collectivités locales de règlementer localement l’éclairage nocturne afin de limiter dans le temps et dans l’espace cette pollution lumineuse.
En savoir plus sur la campagne :
http://www.agirpourlenvironnement.org/campagnes/a6.htm
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